Le Dimanche 31 octobre 2010
DOOOM OVER PARIS IV : 10 YEARS OF ATARAXIE
LE KLUB, 14 rue Saint Denis, Paris (métro Châtelet)
18h - 10 euros
Réservations à philoxera@lesacteursdelombre.com (mettre [DOP4] dans le sujet du mail, merci!)
Ataraxie (France)
http://www.myspace.com/ataraxie
Ataraxie, locataire permanent des festivals Doom des acteurs de l'ombre, fêtera naturellement ses 10 ans lors du Doom Over Paris IV. En une décennie, les rouennais se sont imposés comme LA figure de proue du Doom/Death français et chacune de leurs prestations enserre le public dans un étau de noirceur étouffante, une épreuve douloureuse mais ô combien jouissive qui ne laisse aucun dommster indifférent.
Ophis (Allemagne)
http://www.myspace.com/ophisdoom
Une reptation musicale s'insinue dans votre oreille, c'est l'ophidien qui susurre la mort et la désolation. Adeptes du doom/death à l'ancienne, cru et avarié, les allemands empoisonnent la scène depuis 10 ans, et viendront déverser le venin de leur second album : "Withered Shades". Ophis est une célébration nihiliste de la négation, de la mort et de la noirceur de l'âme.
Inborn Suffering (France)
http://www.myspace.com/inbornsuffering
Les parisiens, qui se sont taillé une solide réputation en France comme à l'étranger, viendront présenter les morceaux de leur futur album. Comptant en ses rangs des membres de Funeralium, Mourning Dawn et Fractal Gates, tous fanatiques de Doom Metal, le groupe a écumé les clubs de France, Belgique, Hollande, Grèce... La musique d'Inborn Suffering est une véritable régression vers le néant qui emmène l'auditeur sur les chemins les plus sombres de sa propre existence.
Aathma (Espagne)
http://www.myspace.com/aathmamusic
Les madrilènes ont été élus en 2009 parmi les meilleurs groupes non signés par les lecteurs du magazine Terrorizer, et viendront défendre à Paris leur premier album "The Call of Shiva". Power trio évoluant dans un stoner aux relents sludge, Aathma est étouffant, hypnotique, monolithique.
Fatum Elisum (France)
http://www.myspace.com/fatumelisum
Fatum Elisum puise son inspiration dans la musique des groupes fondateurs du doom aussi bien que dans les références littéraires telles que : Antonin Artaud, Cioran, William Blake, le Coran, la Bible, le Bardo Thodol, Charles Baudelaire, Lautréamont, François Villon, Joachim Du Bellay, Nietzche et Schopenhauer. Le résultat est un doom/death cru, exalté, liturgique et possédé.
