Brutal Grind Assault 4
- trepandead
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Re: Brutal Grind Assault 4
grindcore is'not a crime, grindcore is INSTINCT, grindcore is life !!
- trepandead
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Re: Brutal Grind Assault 4
http://www.skartnak.com/live_report/114 ... ult-4.html
Il fût un temps jadis naguère où les concerts étaient un moyen de savourer une forme artistique élaborée en toute quiétude, un élèvement spirituel de bon goût par un biais mélodique et reposant, face à la virtuosité de moult artistes reconnus de par leur indéniable talent à marier la puissance, la douceur et la finesse sonore, et ce pour un public des plus raffinés et de haute distinction. Mais ce temps est révolu. Car en ce 31 janvier 2009, c’est bel et bien pour l’apocalypse, l’annihilation la plus absolue et la guerre finale que les quelques 400 (enfin il me semble, je suis une merde pour estimer une foule) fous furieux amateurs de sadomasochisme en musique se rendirent à l’usine, et non pour le raffinement de ce si bel art post-moderne qu’est le grindcore.
Bon assez blablaté, assez tourné en rond, on ne peut plus reculer, voici les premiers de ces destructeurs de musique conventionnelle qui s’en viennent, Tedh Secret qu’ils s’appellent, et c’est devant une salle encore bien peu remplie qu’ils s’en allèrent à la guerre, armés jusqu’aux dents de leur grind-math-chaos-death-metal-hardcore franchement bien exécuté, bien construit et soutenu par une énergie sans faille (avec un peu trop de mosh-parts tout de même, ce qui franchement est quelque peu fatiguant à la longue), mais étant amateur de musique plus carrée, structurée et directe j’avouerai ne pas avoir succombé à leur assault, aussi brutal grind fût-il, néanmoins sachons garder un regard objectif et neutre et saluons la bravoure de ce premier bataillon de l’apocalypse, car il n’est jamais facile d’être le premier rang de l’armée, le premier confronté aux lignes ennemies donc le premier à affronter le jugement du public.
Je profite alors de la pause pour consolider mon armure, à grands renforts de sirops de menthe, ce qui sembla choquer les barmens hahaha, et d’achats divers tels qu’une superbe t-shirt Hour Of Penance (+4 de protection contre les blasts et les gruiks) et quelques cds (à défaut de vinyls…) de folk-pop doucereux et romantique bien entendu. Merde, à peine le temps de m’assurer de ma sécurité et de mon armure que la seconde vague arrive, Lost Sphere Project, et, ai-je ouï dire, ça chie à mort sa race de sa mère. Bien, effectivement, des lésions sur la surface de ma coque de protection apparurent, les agressions grindcore mêlées aux défroquaisons hardcore se révélèrent efficaces et dangereuses, avec en plus la hargne scènique déployée par le groupe acharné au combat, mais comme je l’eus déjà dit plus haut dans ce texte, je succombe de manière plus considérable aux groupes carrés directs et construits, par conséquent la tendance quelque peu destructurée du combo n’atteignit guère ma forteresse centrale et vitale. Mais cool quand même. Aller, vite, un sirop de menthe.
La tension monte. Les troupes tremblent. La sueur suinte de partout. Merde, voilà, ils sont là, le premier plat de résistance de la soirée, Trepan Dead, grindcore-death-metal-crustysé pour vous détruire, et alors la bataille commence à faire rage : le pit se déchaîne, pogo sauvage et stage-dives incontrôlables, hurlements inhumains et blasts foudroyeurs, c’est l’hécatombe, le général bon sens ordonne la retraite mais les troupes sont trop engagées. Un massacre. C’est rapide, puissant, direct, l’équilibre entre les blasts et le reste est impec, vraiment, je succombe. Un carnage.
Je constate avec dépit les dégâts, tente de remotiver les troupes, de soigner les nombreux blessés, mais le résultat est là, les pertes sont grandes. Braiphe, le public est à son comble, et on sait pourquoi, le pire reste à venir, l’apocalypse, la fin des temps, l’achèvement de millénaires d’humanité, comme quoi la bible disait juste sur au moins un point, et c’est d’ailleurs un comble car les suivants de ces warriors sont les radicalement anti-cléricaux et anti-religieux (ce qui n'est pas pour me déplaire) de Hour Of Penance, et alors là, c’est la claque de chez claque : brutal death venu du pays de la pizza, complètement clinique chirurgical disséquant et psychotique, d’une précision ahurissante, la double-pédale assourdissante nous martèle et nous poursuit sans répit jusqu’à l’entrée de l’hôpital psychiatrique dans lequel nous passerons vraisemblablement le reste de nos jours, et je ne parle même pas des gravitys blasts droits venus des enfers de la vitesse suprême. Les riffs relèvent du domaine de l’incompréhensible, une rapidité à toute épreuve, une technique incomparable, et une synchronisation générale qui m’amènent à me demander si ce ne sont pas des robots en train de jouer en face de moi, des machines qui prendraient le contrôle du monde et de l’humanité en commençant par la scène des métaux extrêmes, et dès lors que faire face à une attaque si puissante ? je suis décimé, exterminé et à l’agonie, même Conan le barbare n’aurait survécu à cet assaut, c’est dire. Et en plus leur nom est illisible dans leur logo, donc c’est une preuve irréfutable que c’est un bon groupe.
Alors que je suis affaibli comme jamais, je tente de me rassurer en regardant les quelques loques déjà comateuses et endormies par terre, me disant que je ne suis finalement pas le plus décimé encore, mais à vrai dire je soupçonne plus le liquide houbloneux d’être à l’origine de leur écroulement que la qualité des groupes présents. Chacun son truc hahaha. Mais malgré tous mes efforts je n’arrive guerre à me détourner de ce qui m’attend alors, car si j’ai perdu déjà 2 batailles il me reste la guerre, et plus la soirée avance moins j’envisage de la gagner, ce qui est alors sensé au vu du groupe suivant : Jig-Ai, gore-porno-grind dans ta face (et ton cul), aux blasts-bites sodomisateurs, du début à la fin je me retrouve déchiqueté, empalé, désarticulé, démembré, décapité, assourdi, mixé, fourbu, haché, et j’en passe et des pires. Le groupe, en plus de sa musique déjà franchement géniale, met une ambiance des plus furieuses, en sautant dans tous les sens, gruikant à tout va et remuant leur crinière léonine et cascadante, et le public de poursuivre cet élan en se sautant joyeusement dessus, se rentrant les uns dans les autres, s’écrasant par terre et recommençant de plus belle, on jamais autant aimé se faire mal. Un set impeccable, énormissime et sans doute le plus dévastateur de la soirée, autant dire qu’on ne parle plus de défaite de mon côté mais bel et bien d’extermination, je suis en bouillie, chouette on pourra me prendre en photo pour une pochette d’album.
Des rumeurs courent comme quoi Splitter joueront en dernier en raison d’un « concert spécial » qu’ils s’apprêtent à donner, soit, c’est donc Rotten Sound qui me feront passer de l’état de bouillie à celui de poussière. Bref, le public commence soit à fatiguer sérieusement, soit à être bourré non moins sérieusement, et c’est donc un défi pour le groupe suivant de faire redécoller l’ambiance alors instaurée par Jig-Ai lors de leur set, et c’est un travail idéal pour Rotten Sound tout ça, donc à peine le temps de recoller quelques uns des morceaux de moi-même que c’est reparti : grind-crust à fond les mamelles, du blast, des riffs dévastateurs, des beuglements, du pogo à foison et du stage-dive en excès, ça y est, comme prévu me revoilà devenu poussière, mais étonnement…pas autant que prévu : en effet, Rotten Sound ça chie à mort et tout et tout etc, mais je ne saurais dire pourquoi, je ressentis moins d’énergie dévastatrice que lors des précédentes batailles, moins de folie, et c’est d’ailleurs toujours un peu le problème avec les groupes dits « mythiques » ou « de référence », on s’attend à un truc imparable et au final le résultat est rarement aussi grandiose que ce qu’on imaginait. Mais n’ergotons guère, je voulais de la violence sonore et je l’ai eue.
C’est donc en rampant péniblement par terre que la poussière de moi-même tenta d’ingurgiter un autre sirop de menthe (ils sont vraiment bons ceux de l’usine !), mais l’avancée fut fastidieuse tant le sol collait à force de renverser des binchs dessus, au moins ça empêche de glisser durant une quelconque danse sauvage.
Dernière et ultime manifestation du chaos et de l’apocalypse, Splitter : le soud-check commence, je re-rampe dans l’autre sens, commence à repenser à ma vie passée que je vais bientôt quitter dans de délicieuses souffrances, et me voilà arraché à ma nostalgie lorsque, surprise, Tom, chanteur de Mumakil, arrive sur scène micro en main ! Le réel beugleur de Splitter ayant paraît-il eu un accident, plusieurs grindeux locaux le remplaceront au cours du concert, en voilà un concept sympa, totale improvisation ! Bon, le show commence, et alors là c’est l’horreur, de poussière je deviens molécules puis atomes et mêmes quarks, parce que franchement face à Splitter, je suis dépourvu : grind-crust aux mélodies sombrissimes et à la rapidité exemplaire, c’est fou furieux, hystérique, hyperactif, juste ce qu’il me faut, et sans conteste meilleur que la prestation de Rotten Sound, même si les mélodies subtiles que l’on peut savourer sur les enregistrements sont moins perceptibles en live, mais qu’importe c’est une porte menant droit sur l’anéantissement le plus total de toute vie. Enorme, vraiment, et les chanteurs qui se succèdent pour venir beugler la chanssonette en rajoutent encore une couche de par le côté improvisé du truc, c’est vraiment la fin de tout, ma maman ne va pas me reconnaître.
C’est donc en tant qu’infimes molécules que je passai le reste de la nuit à causer de tout et n’importe quoi avec tout le monde et n’importe qui, à moitié somnolent, en attendant le fatidique train du matin, mais vu qu’on est en hiver j’ai pas eu droit au lever du soleil durant le trajet, snif bouh, sans compter qu’en arrivant à Lozangeles le métro était fermé pour encore une demi heure, et que je n’avais plus rien à bouffer ni plus aucune thune, ralala vraiment rien de tel qu’une matinée de merde pour clore une nuit blanche dévastatrice. Brutal Grind Assault 4 de folie, vivement le 5 !
Il fût un temps jadis naguère où les concerts étaient un moyen de savourer une forme artistique élaborée en toute quiétude, un élèvement spirituel de bon goût par un biais mélodique et reposant, face à la virtuosité de moult artistes reconnus de par leur indéniable talent à marier la puissance, la douceur et la finesse sonore, et ce pour un public des plus raffinés et de haute distinction. Mais ce temps est révolu. Car en ce 31 janvier 2009, c’est bel et bien pour l’apocalypse, l’annihilation la plus absolue et la guerre finale que les quelques 400 (enfin il me semble, je suis une merde pour estimer une foule) fous furieux amateurs de sadomasochisme en musique se rendirent à l’usine, et non pour le raffinement de ce si bel art post-moderne qu’est le grindcore.
Bon assez blablaté, assez tourné en rond, on ne peut plus reculer, voici les premiers de ces destructeurs de musique conventionnelle qui s’en viennent, Tedh Secret qu’ils s’appellent, et c’est devant une salle encore bien peu remplie qu’ils s’en allèrent à la guerre, armés jusqu’aux dents de leur grind-math-chaos-death-metal-hardcore franchement bien exécuté, bien construit et soutenu par une énergie sans faille (avec un peu trop de mosh-parts tout de même, ce qui franchement est quelque peu fatiguant à la longue), mais étant amateur de musique plus carrée, structurée et directe j’avouerai ne pas avoir succombé à leur assault, aussi brutal grind fût-il, néanmoins sachons garder un regard objectif et neutre et saluons la bravoure de ce premier bataillon de l’apocalypse, car il n’est jamais facile d’être le premier rang de l’armée, le premier confronté aux lignes ennemies donc le premier à affronter le jugement du public.
Je profite alors de la pause pour consolider mon armure, à grands renforts de sirops de menthe, ce qui sembla choquer les barmens hahaha, et d’achats divers tels qu’une superbe t-shirt Hour Of Penance (+4 de protection contre les blasts et les gruiks) et quelques cds (à défaut de vinyls…) de folk-pop doucereux et romantique bien entendu. Merde, à peine le temps de m’assurer de ma sécurité et de mon armure que la seconde vague arrive, Lost Sphere Project, et, ai-je ouï dire, ça chie à mort sa race de sa mère. Bien, effectivement, des lésions sur la surface de ma coque de protection apparurent, les agressions grindcore mêlées aux défroquaisons hardcore se révélèrent efficaces et dangereuses, avec en plus la hargne scènique déployée par le groupe acharné au combat, mais comme je l’eus déjà dit plus haut dans ce texte, je succombe de manière plus considérable aux groupes carrés directs et construits, par conséquent la tendance quelque peu destructurée du combo n’atteignit guère ma forteresse centrale et vitale. Mais cool quand même. Aller, vite, un sirop de menthe.
La tension monte. Les troupes tremblent. La sueur suinte de partout. Merde, voilà, ils sont là, le premier plat de résistance de la soirée, Trepan Dead, grindcore-death-metal-crustysé pour vous détruire, et alors la bataille commence à faire rage : le pit se déchaîne, pogo sauvage et stage-dives incontrôlables, hurlements inhumains et blasts foudroyeurs, c’est l’hécatombe, le général bon sens ordonne la retraite mais les troupes sont trop engagées. Un massacre. C’est rapide, puissant, direct, l’équilibre entre les blasts et le reste est impec, vraiment, je succombe. Un carnage.
Je constate avec dépit les dégâts, tente de remotiver les troupes, de soigner les nombreux blessés, mais le résultat est là, les pertes sont grandes. Braiphe, le public est à son comble, et on sait pourquoi, le pire reste à venir, l’apocalypse, la fin des temps, l’achèvement de millénaires d’humanité, comme quoi la bible disait juste sur au moins un point, et c’est d’ailleurs un comble car les suivants de ces warriors sont les radicalement anti-cléricaux et anti-religieux (ce qui n'est pas pour me déplaire) de Hour Of Penance, et alors là, c’est la claque de chez claque : brutal death venu du pays de la pizza, complètement clinique chirurgical disséquant et psychotique, d’une précision ahurissante, la double-pédale assourdissante nous martèle et nous poursuit sans répit jusqu’à l’entrée de l’hôpital psychiatrique dans lequel nous passerons vraisemblablement le reste de nos jours, et je ne parle même pas des gravitys blasts droits venus des enfers de la vitesse suprême. Les riffs relèvent du domaine de l’incompréhensible, une rapidité à toute épreuve, une technique incomparable, et une synchronisation générale qui m’amènent à me demander si ce ne sont pas des robots en train de jouer en face de moi, des machines qui prendraient le contrôle du monde et de l’humanité en commençant par la scène des métaux extrêmes, et dès lors que faire face à une attaque si puissante ? je suis décimé, exterminé et à l’agonie, même Conan le barbare n’aurait survécu à cet assaut, c’est dire. Et en plus leur nom est illisible dans leur logo, donc c’est une preuve irréfutable que c’est un bon groupe.
Alors que je suis affaibli comme jamais, je tente de me rassurer en regardant les quelques loques déjà comateuses et endormies par terre, me disant que je ne suis finalement pas le plus décimé encore, mais à vrai dire je soupçonne plus le liquide houbloneux d’être à l’origine de leur écroulement que la qualité des groupes présents. Chacun son truc hahaha. Mais malgré tous mes efforts je n’arrive guerre à me détourner de ce qui m’attend alors, car si j’ai perdu déjà 2 batailles il me reste la guerre, et plus la soirée avance moins j’envisage de la gagner, ce qui est alors sensé au vu du groupe suivant : Jig-Ai, gore-porno-grind dans ta face (et ton cul), aux blasts-bites sodomisateurs, du début à la fin je me retrouve déchiqueté, empalé, désarticulé, démembré, décapité, assourdi, mixé, fourbu, haché, et j’en passe et des pires. Le groupe, en plus de sa musique déjà franchement géniale, met une ambiance des plus furieuses, en sautant dans tous les sens, gruikant à tout va et remuant leur crinière léonine et cascadante, et le public de poursuivre cet élan en se sautant joyeusement dessus, se rentrant les uns dans les autres, s’écrasant par terre et recommençant de plus belle, on jamais autant aimé se faire mal. Un set impeccable, énormissime et sans doute le plus dévastateur de la soirée, autant dire qu’on ne parle plus de défaite de mon côté mais bel et bien d’extermination, je suis en bouillie, chouette on pourra me prendre en photo pour une pochette d’album.
Des rumeurs courent comme quoi Splitter joueront en dernier en raison d’un « concert spécial » qu’ils s’apprêtent à donner, soit, c’est donc Rotten Sound qui me feront passer de l’état de bouillie à celui de poussière. Bref, le public commence soit à fatiguer sérieusement, soit à être bourré non moins sérieusement, et c’est donc un défi pour le groupe suivant de faire redécoller l’ambiance alors instaurée par Jig-Ai lors de leur set, et c’est un travail idéal pour Rotten Sound tout ça, donc à peine le temps de recoller quelques uns des morceaux de moi-même que c’est reparti : grind-crust à fond les mamelles, du blast, des riffs dévastateurs, des beuglements, du pogo à foison et du stage-dive en excès, ça y est, comme prévu me revoilà devenu poussière, mais étonnement…pas autant que prévu : en effet, Rotten Sound ça chie à mort et tout et tout etc, mais je ne saurais dire pourquoi, je ressentis moins d’énergie dévastatrice que lors des précédentes batailles, moins de folie, et c’est d’ailleurs toujours un peu le problème avec les groupes dits « mythiques » ou « de référence », on s’attend à un truc imparable et au final le résultat est rarement aussi grandiose que ce qu’on imaginait. Mais n’ergotons guère, je voulais de la violence sonore et je l’ai eue.
C’est donc en rampant péniblement par terre que la poussière de moi-même tenta d’ingurgiter un autre sirop de menthe (ils sont vraiment bons ceux de l’usine !), mais l’avancée fut fastidieuse tant le sol collait à force de renverser des binchs dessus, au moins ça empêche de glisser durant une quelconque danse sauvage.
Dernière et ultime manifestation du chaos et de l’apocalypse, Splitter : le soud-check commence, je re-rampe dans l’autre sens, commence à repenser à ma vie passée que je vais bientôt quitter dans de délicieuses souffrances, et me voilà arraché à ma nostalgie lorsque, surprise, Tom, chanteur de Mumakil, arrive sur scène micro en main ! Le réel beugleur de Splitter ayant paraît-il eu un accident, plusieurs grindeux locaux le remplaceront au cours du concert, en voilà un concept sympa, totale improvisation ! Bon, le show commence, et alors là c’est l’horreur, de poussière je deviens molécules puis atomes et mêmes quarks, parce que franchement face à Splitter, je suis dépourvu : grind-crust aux mélodies sombrissimes et à la rapidité exemplaire, c’est fou furieux, hystérique, hyperactif, juste ce qu’il me faut, et sans conteste meilleur que la prestation de Rotten Sound, même si les mélodies subtiles que l’on peut savourer sur les enregistrements sont moins perceptibles en live, mais qu’importe c’est une porte menant droit sur l’anéantissement le plus total de toute vie. Enorme, vraiment, et les chanteurs qui se succèdent pour venir beugler la chanssonette en rajoutent encore une couche de par le côté improvisé du truc, c’est vraiment la fin de tout, ma maman ne va pas me reconnaître.
C’est donc en tant qu’infimes molécules que je passai le reste de la nuit à causer de tout et n’importe quoi avec tout le monde et n’importe qui, à moitié somnolent, en attendant le fatidique train du matin, mais vu qu’on est en hiver j’ai pas eu droit au lever du soleil durant le trajet, snif bouh, sans compter qu’en arrivant à Lozangeles le métro était fermé pour encore une demi heure, et que je n’avais plus rien à bouffer ni plus aucune thune, ralala vraiment rien de tel qu’une matinée de merde pour clore une nuit blanche dévastatrice. Brutal Grind Assault 4 de folie, vivement le 5 !
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- Skol !
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- Inscription : lun. oct. 16, 2006 12:01 pm
Re: Brutal Grind Assault 4
Ha, ha, ça avait l'air d'une grande soirée !
Merci pour les reports et les vidéals ! Ca a tourté velu on dirait !
La bise aux Trepan' et mes condoléances à Vinzzz' pour la lost casquette !

Merci pour les reports et les vidéals ! Ca a tourté velu on dirait !
La bise aux Trepan' et mes condoléances à Vinzzz' pour la lost casquette !


- Vinzzz
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- Inscription : mar. oct. 10, 2006 8:14 am
Re: Brutal Grind Assault 4
Skol ! a écrit :Ha, ha, ça avait l'air d'une grande soirée !
Merci pour les reports et les vidéals ! Ca a tourté velu on dirait !
La bise aux Trepan' et mes condoléances à Vinzzz' pour la lost casquette !![]()
J'ai pris rendez-vous avec un marabou pour qu'il pourrisse à jamais la vie du mec qui m'a piqué ma casquette !!!!
Bizzzz à vous les Nolentia !!!!!!!

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- Vinzzz
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- Vinzzz
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Re: Brutal Grind Assault 4
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Re: Brutal Grind Assault 4
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