Suffocation-Skeleton Witch-Havok | Divan du monde 30/07/14
Publié : jeu. juil. 31, 2014 1:18 pm
Salut à tous,
Belle affiche que celle de ce soir au Divan du Monde. Les brutaux Suffocation étaient accompagnés des Trasheux Havok et Skeleton Witch pour une soirée bien énervée.
Soirée qui s’ouvre par Seita, groupe inconnu au bataillon et qui m’a ennuyé instantanément, la faute à des compos génériques et un son très moyen (de première partie). Au moment ou je n’y croyais déjà plus depuis longtemps, le chanteur annonce la chanson Dictatura (me semble t-il) et bonne surprise, la compo est bonne et surtout, surtout, le lead guitariste sort un long solo venu de nulle part franchement énorme, le tout sur un riff du rythm gratteux pas dégueu non plus. En un solo, en fin de set de surcroit, le groupe réussit à trouver un peu de grâce à mes yeux. Comme quoi, ça tient parfois à pas grand-chose. Cela étant dit, je n’irais pas payer pour voir le groupe et je ne suis pas curieux d’entendre leur galette.
Surprise quand Havok débarque alors que je les croyais plus haut sur l’affiche. Pas grave, c’est bon à prendre. J’ai été un peu déçu de leur set et ai préféré celui au Glaz’art deux ans plus tôt. C’était bon mais je n’ai pas réussi à rentrer dedans. Je trouve aussi les compos pas follement inspirées. Il manque les riffs de tueurs et Vektor étant passé par la, l’originalité et le talent de composition offertes par Havok me paraissent bien fades. J'en attendais peut être trop.
La vraie surprise de la soirée fut Skeleton Witch que je ne connaissais que de nom. Une écoute rapide sur VS ne m’avait pas emballée mais ce soir, ça poutre. Le son est excellent et les musiciens sont au top. Ce Trash au relent de rock’n’roll crasseux (ou l’inverse ?) passe tout seul et la salle semble bien apprécier. Excellent set, à revoir avec plaisir.
Enfin débarque Suffocation. Bon, il n’y a rien à dire sur la prestation. Suffo étant Suffo, ils viennent et ils atomisent. Ils sont comme ça les mecs. Excellent.
Par contre, la ou j’ai pris encore plus mon pied, c’était sur les speechs de Monsieur Mullen. Putain ce que je me suis marré. Ce vieux salopard sort des conneries plus vite que son ombre. Que ce soit quand un pépin technique arrive en début de deuxième chanson, que son batteur foire le début d’un morceau ou pour nous expliquer sa définition du romantisme (cela se finit par une éventration), il y a du niveau et du débit dans le ouate ze feuke.
Pour résumer, très chouette soirée. Un Suffo et au lit.
Belle affiche que celle de ce soir au Divan du Monde. Les brutaux Suffocation étaient accompagnés des Trasheux Havok et Skeleton Witch pour une soirée bien énervée.
Soirée qui s’ouvre par Seita, groupe inconnu au bataillon et qui m’a ennuyé instantanément, la faute à des compos génériques et un son très moyen (de première partie). Au moment ou je n’y croyais déjà plus depuis longtemps, le chanteur annonce la chanson Dictatura (me semble t-il) et bonne surprise, la compo est bonne et surtout, surtout, le lead guitariste sort un long solo venu de nulle part franchement énorme, le tout sur un riff du rythm gratteux pas dégueu non plus. En un solo, en fin de set de surcroit, le groupe réussit à trouver un peu de grâce à mes yeux. Comme quoi, ça tient parfois à pas grand-chose. Cela étant dit, je n’irais pas payer pour voir le groupe et je ne suis pas curieux d’entendre leur galette.
Surprise quand Havok débarque alors que je les croyais plus haut sur l’affiche. Pas grave, c’est bon à prendre. J’ai été un peu déçu de leur set et ai préféré celui au Glaz’art deux ans plus tôt. C’était bon mais je n’ai pas réussi à rentrer dedans. Je trouve aussi les compos pas follement inspirées. Il manque les riffs de tueurs et Vektor étant passé par la, l’originalité et le talent de composition offertes par Havok me paraissent bien fades. J'en attendais peut être trop.
La vraie surprise de la soirée fut Skeleton Witch que je ne connaissais que de nom. Une écoute rapide sur VS ne m’avait pas emballée mais ce soir, ça poutre. Le son est excellent et les musiciens sont au top. Ce Trash au relent de rock’n’roll crasseux (ou l’inverse ?) passe tout seul et la salle semble bien apprécier. Excellent set, à revoir avec plaisir.
Enfin débarque Suffocation. Bon, il n’y a rien à dire sur la prestation. Suffo étant Suffo, ils viennent et ils atomisent. Ils sont comme ça les mecs. Excellent.
Par contre, la ou j’ai pris encore plus mon pied, c’était sur les speechs de Monsieur Mullen. Putain ce que je me suis marré. Ce vieux salopard sort des conneries plus vite que son ombre. Que ce soit quand un pépin technique arrive en début de deuxième chanson, que son batteur foire le début d’un morceau ou pour nous expliquer sa définition du romantisme (cela se finit par une éventration), il y a du niveau et du débit dans le ouate ze feuke.
Pour résumer, très chouette soirée. Un Suffo et au lit.