Absu-Impiety-Necronomicon @ Glazart - 08/04/2012
Publié : lun. avr. 09, 2012 8:08 am
C'est sous une petite pluie fine, sans doute envoyée par Notre Seigneur mécontent qu'une telle affiche blasphématoire puisse se dérouler un dimanche de Pâques, que j'arrive devant le Glaz'art vers 19h15. Une petite centaine de chevelu(e)s y étanche sa soif.
Le temps de croiser un KPN-boy et de discuter avec un camarade céleste et une demoiselle qui ne me reconnaît pas (alors que je l'ai grimpée !!!! -dans ma voiture).
Les portes s'ouvrent, direction le stand de merch'. Pas grand chose à se mettre sous la dent, pas de vinyls. Je prends les traditionnels shirts de la tournée, mais à 20€ pièce, çà fait ch(i)er.
Pas le temps de ruminer, les canadiens de Necronomicon entrent en scène. Je ne connais absolument pas ce groupe, même si le chanteur affirme qu'ils sont là depuis 25 ans (vérification faite, leur première demo date de 1992). Les québécois officient dans un death assez classique, très bien exécuté mais qui ne m'enchante pas vraiment. Pas spécialiste du genre, je note quelques relents de Krisiun, de Kataklysm voire des premiers Loudblast. Devant un public encore clairsemé, ils jouent de nombreux morceaux de leur dernier album sorti chez Napalm, The return of the witch, notamment le morceau éponyme, Into the fire ou encore Time is now. Le chanteur est très communicatif avec ses "cousins" français et nous donne rendez-vous sur Fesse de Bouc.
Changement de registre avec les singapouriens (?) d'Impiety. Après nous avoir fait poireauter, lumières éteintes, un petit moment, c'est parti pour la guerre. 45 minutes de black destructeur où se mêlent morceaux récents (= du blast, du blast et encore du blast) - Weaponized, Legacy of savagery, Ravage & conquer, Advent of the nuclear baphomet et la réjouissante reprise de Bathory, Sacrifice - et hymnes plus anciens, qui auraient sans doute mérités d'être plus nombreux - Dominator ou le génial rappel Torment in fire.
Pause bienvenue, le temps de tomber sur LE Puissant Maître, LE Tourmenteur, qui sort par magie une bouteille de sa poche. C'est au whisky ce que la Logan est à l'automobile, mais çà fait du bien. Et de croiser un des acteurs de l'ombre qui ne me reconnaît pas non plus, c'est ma soirée.
Les texans d'Absu montent enfin sur scène et c'est parti pour une heure d'occult mythological metal. Pas familier des derniers opus du groupe, je suis donc infoutu de dire ce qui a été joué. Je retiens Swords and leather, Mannanan et surtout Never blow out the eastern candle, morceau par lequel j'ai découvert le groupe en 1998.
Absu ne me transcende pas forcément sur album donc leur performance ne m'a pas transcendé hier soir. Impiety a tout terrassé, même si j'aurais bien pris dans la tronche Anal madonna, Mighty Impiety ou Carbonized.
Prochain rendez-vous, demain soir, avec Agalloch. Cà change de style, c'est sûr.
Le temps de croiser un KPN-boy et de discuter avec un camarade céleste et une demoiselle qui ne me reconnaît pas (alors que je l'ai grimpée !!!! -dans ma voiture).
Les portes s'ouvrent, direction le stand de merch'. Pas grand chose à se mettre sous la dent, pas de vinyls. Je prends les traditionnels shirts de la tournée, mais à 20€ pièce, çà fait ch(i)er.
Pas le temps de ruminer, les canadiens de Necronomicon entrent en scène. Je ne connais absolument pas ce groupe, même si le chanteur affirme qu'ils sont là depuis 25 ans (vérification faite, leur première demo date de 1992). Les québécois officient dans un death assez classique, très bien exécuté mais qui ne m'enchante pas vraiment. Pas spécialiste du genre, je note quelques relents de Krisiun, de Kataklysm voire des premiers Loudblast. Devant un public encore clairsemé, ils jouent de nombreux morceaux de leur dernier album sorti chez Napalm, The return of the witch, notamment le morceau éponyme, Into the fire ou encore Time is now. Le chanteur est très communicatif avec ses "cousins" français et nous donne rendez-vous sur Fesse de Bouc.
Changement de registre avec les singapouriens (?) d'Impiety. Après nous avoir fait poireauter, lumières éteintes, un petit moment, c'est parti pour la guerre. 45 minutes de black destructeur où se mêlent morceaux récents (= du blast, du blast et encore du blast) - Weaponized, Legacy of savagery, Ravage & conquer, Advent of the nuclear baphomet et la réjouissante reprise de Bathory, Sacrifice - et hymnes plus anciens, qui auraient sans doute mérités d'être plus nombreux - Dominator ou le génial rappel Torment in fire.
Pause bienvenue, le temps de tomber sur LE Puissant Maître, LE Tourmenteur, qui sort par magie une bouteille de sa poche. C'est au whisky ce que la Logan est à l'automobile, mais çà fait du bien. Et de croiser un des acteurs de l'ombre qui ne me reconnaît pas non plus, c'est ma soirée.
Les texans d'Absu montent enfin sur scène et c'est parti pour une heure d'occult mythological metal. Pas familier des derniers opus du groupe, je suis donc infoutu de dire ce qui a été joué. Je retiens Swords and leather, Mannanan et surtout Never blow out the eastern candle, morceau par lequel j'ai découvert le groupe en 1998.
Absu ne me transcende pas forcément sur album donc leur performance ne m'a pas transcendé hier soir. Impiety a tout terrassé, même si j'aurais bien pris dans la tronche Anal madonna, Mighty Impiety ou Carbonized.
Prochain rendez-vous, demain soir, avec Agalloch. Cà change de style, c'est sûr.