Vader/Gorgoroth - L'Empreinte - Savigny (77) - 24/11/2011
Publié : ven. nov. 25, 2011 9:22 am
Grande première pour moi hier soir à l’Empreinte puisque je n’avais jamais vu ni Vader ni Gorgoroth. Non je n’ai pas honte. Et non je n’étais pas le seul, nous étions au moins deux.
Arrivée donc vers 20h30 en RER alors que les polonais de Vader vont lancer l’assaut devant une assemblée moyenne (à vue de nez je dirais 150-200 personnes ? En tout cas on ne se marche pas dessus).
Un début prometteur avec Return to the morbid reich du nouvel album "Welcome to the morbid reich" (d’ailleurs, depuis hier soir je me dis qu’un des riffs principaux me rappelle méchamment un morceau de Morbid Angel, je pense sur "Covenant", mais impossible d’en retrouver le titre. Si çà évoque quelque chose à quelqu’un…)
Le groupe va alors piocher dans sa discographie conséquente pour nous sortir Wings, Cold demons, Kingdom, Come and see my sacrifice, Helleluyah!!! (God is dead) en rappel ou encore le très vieux The wrath. Réaction poussive du public, exception faite d’un Zébulon qui sautille frénétiquement sur place. Les acclamations et applaudissements sont polis, mais loin d’être hystériques. Un silence pesant s’installe même parfois entre les morceaux, occasion rêvée pour Peter de lancer Silent empire (j’avais oublié ce morceau, mais fichtre ce qu’il est bon !)
Bon set, d'une durée d'une heure, mais somme toute assez loin de la réputation / l’image de Panzer dévastateur.
Après la pause de trente minutes règlementaire et l’achat, règlementaire lui aussi, des shirts de la tournée, les méchants de Gorgoroth investissent les lieux. Cuir, clous, corpse paints, on n’est pas là pour rigoler. Deux groupies se sont aussi tartiné la tronche de Samos en y greffant qui un pentacle, qui une croix à l’envers et là, çà fait rigoler. Bref, pas aidés par un son médiocre et des problèmes techniques, du micro qui a des absences aux larsens, les invocateurs du Malin livrent un set en demi-teinte et très classique (Destroyer, Secrets, Forces of Satan storms, Unchain my heart!!!. Là encore, peu de réactions dans le public, ce qui explique sans doute la brièveté du set, pas plus de 45 minutes. Minimum syndical donc.
Arrivée donc vers 20h30 en RER alors que les polonais de Vader vont lancer l’assaut devant une assemblée moyenne (à vue de nez je dirais 150-200 personnes ? En tout cas on ne se marche pas dessus).
Un début prometteur avec Return to the morbid reich du nouvel album "Welcome to the morbid reich" (d’ailleurs, depuis hier soir je me dis qu’un des riffs principaux me rappelle méchamment un morceau de Morbid Angel, je pense sur "Covenant", mais impossible d’en retrouver le titre. Si çà évoque quelque chose à quelqu’un…)
Le groupe va alors piocher dans sa discographie conséquente pour nous sortir Wings, Cold demons, Kingdom, Come and see my sacrifice, Helleluyah!!! (God is dead) en rappel ou encore le très vieux The wrath. Réaction poussive du public, exception faite d’un Zébulon qui sautille frénétiquement sur place. Les acclamations et applaudissements sont polis, mais loin d’être hystériques. Un silence pesant s’installe même parfois entre les morceaux, occasion rêvée pour Peter de lancer Silent empire (j’avais oublié ce morceau, mais fichtre ce qu’il est bon !)
Bon set, d'une durée d'une heure, mais somme toute assez loin de la réputation / l’image de Panzer dévastateur.
Après la pause de trente minutes règlementaire et l’achat, règlementaire lui aussi, des shirts de la tournée, les méchants de Gorgoroth investissent les lieux. Cuir, clous, corpse paints, on n’est pas là pour rigoler. Deux groupies se sont aussi tartiné la tronche de Samos en y greffant qui un pentacle, qui une croix à l’envers et là, çà fait rigoler. Bref, pas aidés par un son médiocre et des problèmes techniques, du micro qui a des absences aux larsens, les invocateurs du Malin livrent un set en demi-teinte et très classique (Destroyer, Secrets, Forces of Satan storms, Unchain my heart!!!. Là encore, peu de réactions dans le public, ce qui explique sans doute la brièveté du set, pas plus de 45 minutes. Minimum syndical donc.