? Lequel a été jugé comme "limite" par un ami juriste. Je laisse le soin à VS de le laisser publier ou pas.Patti "Whore" Smith
N’étant pas sûr de me souvenir d’un début sans intérêt, je vais commencer par la fin.
Le concert était fini, et une amie à moi qui écoute P. Smith depuis l’âge de 15 ans, mais qui n’a plus 15 ans, voulait absolument une photo avec elle… moi si je dis avec qui je veux une photo, je tombe sous le coup de la loi, c'est mon coté Micberth sans le talent… Bref rien de grave pour elle sauf qu’on se retrouve à 23 à attendre la diva sous la pluie. On discute un peu… des couples de quinquas sympathiques, deux ou trois minettes, rien de bien méchant. 1h45 plus tard, la sorcière, car elle n’a rien d’une diva sors de sa loge : « no, no, no… » comme si elle était harcelée, je veux bien croire qu’il y ait des pervers, mais à ce point ! J’en avais personnellement rien à foutre, rien à lui faire signer, mais l’amie avec qui j’étais et les 15 autres personnes restantes qui voulaient une dédicace étaient déçus par l’attitude abjecte de cette grosse morue en phase terminale : si tu ne voulais pas croiser tes fans, connasse, il y a deux autres portes de sortie à la Coopé. Même les vigiles, qui on dû en voir passer des cons depuis 10 ans étaient étonnés de cette attitude (la salle fêtait ses 10 ans mercredi dernier).
Back, 20h40, pas de première partie. Patti Smith vend un show intéressant dans la mesure de l’artiste. PS reste une vieille punk de seconde génération connue pour trois choses : -Ses poils sous les aisselles sur un 33T. – Une reprise des Doors (Gloria). –Un morceau composé par Springsteen (Because the night). La voix dans les poussées est largement correcte, mais dès que le souffle retombe un peu, on y voit les ravages de la vieillesse. Ravages infiniment moins désastreux que ceux qui incombent à son visage (je n’ai rien contre les anciennes droguées, mais la salle ne prévoyant pas de sac à vomi, on s’est placé tout au fond, en classe économique).
Le gratteux et le bassiste étaient par contre très corrects et de très haute facture, mais malheureusement, ce n’étaient pas eux les « STARS »