Watain + Deströyer 666 + Otargos - European tour 2010
Publié : ven. oct. 01, 2010 9:34 pm
Ce soir, c’est le blues des soirées ratées. J’aurais mieux fait de louer un DVD, ou vendre ma place aux malheureux qui ont hanté les commentaires des news du jour.
Je m’explique :
Faisant partie des affreux suppôts du Grand Capital qui rejettent les impies 35 heures de Martine La Rouge, je quitte le taf à l’heure extrêmement tardive de 18h30, subis les bouchons du vendredi soir puis quasiment toute la ligne 3 du métro. J’ai évidemment raté Otargos et entraperçu Deströyer 666 (snif, c’était pas mal du tout). Faut-il être étudiant ou chômeur pour ne pas rater la moitié de concerts qui commencent de plus en plus tôt ?
Le Nouveau Casino, c’est convivial quand on est 150/200. A 350, c’est intenable. On passe son temps à bousculer et à se faire bousculer, dans une ambiance bien moite. Je regrette déjà les grands espaces de la Loco !
La prestation de Watain commence mal, avec une coupure de son au milieu de Death’s cold dark. Après quelques protestations (« Casino, enculés ! »), ça repart avec un bon son, et quelques titres bien catchy (Satan’s hunger…). Puis, peu à peu, on s’emmerde avec les morceaux les plus poussifs du surévalué Lawless Darkness. Les quelques tueries de l’album (Malfeitor et Hymn to Qayin) sont soigneusement évitées, et le concert s’arrête sans avoir vraiment commencé, au bout d’environ une heure, et sans rappel.
Bilan = 1 heure d’embouteillages + 1 heure de métro, pour à peine 1 heure d’un concert médiocre de Watain. Heureusement, les bons souvenirs du concert de la veille (Dark Tranquillity) me motiveront pour continuer à traîner dans les salles de concert parisiennes…
Je m’explique :
Faisant partie des affreux suppôts du Grand Capital qui rejettent les impies 35 heures de Martine La Rouge, je quitte le taf à l’heure extrêmement tardive de 18h30, subis les bouchons du vendredi soir puis quasiment toute la ligne 3 du métro. J’ai évidemment raté Otargos et entraperçu Deströyer 666 (snif, c’était pas mal du tout). Faut-il être étudiant ou chômeur pour ne pas rater la moitié de concerts qui commencent de plus en plus tôt ?
Le Nouveau Casino, c’est convivial quand on est 150/200. A 350, c’est intenable. On passe son temps à bousculer et à se faire bousculer, dans une ambiance bien moite. Je regrette déjà les grands espaces de la Loco !
La prestation de Watain commence mal, avec une coupure de son au milieu de Death’s cold dark. Après quelques protestations (« Casino, enculés ! »), ça repart avec un bon son, et quelques titres bien catchy (Satan’s hunger…). Puis, peu à peu, on s’emmerde avec les morceaux les plus poussifs du surévalué Lawless Darkness. Les quelques tueries de l’album (Malfeitor et Hymn to Qayin) sont soigneusement évitées, et le concert s’arrête sans avoir vraiment commencé, au bout d’environ une heure, et sans rappel.
Bilan = 1 heure d’embouteillages + 1 heure de métro, pour à peine 1 heure d’un concert médiocre de Watain. Heureusement, les bons souvenirs du concert de la veille (Dark Tranquillity) me motiveront pour continuer à traîner dans les salles de concert parisiennes…