Faith and The Muse - Paris (Le Klub) - 19 juillet 2010
Publié : mar. juil. 20, 2010 8:57 am
Soirée torride en ce lundi de juillet, où il fait 29 degrés dans les rues de Paris à 22 heures, et encore plus chaud dans le Klub, la plus petite salle de concert que j’aie jamais vue, MJC comprises. D’après le site du Klub, la capacité est de 130 personnes seulement, et nous sommes chaleureusement entassés pour attendre les icônes du death rock, Faith and The Muse.
La première partie, Christ vs Warhol, est également un groupe de death rock, dans la lignée de Skeletal Family ou Ghost Dance. On retrouve notamment une rythmique tribale, et une guitare saturée avec beaucoup de chorus. Le son est bon, et met bien en valeur une musique très influencée par les illustres ancêtres des années 80. Dommage que la chanteuse ne soit pas toujours très juste. Deux des musiciens arborent de magnifiques iroquois, et c’est à peu près tout ce que j’aurais vu, car la scène est basse, et quelques spectateurs de grande taille ont eu la fâcheuse idée de se placer devant.
Je n’ai pas encore écouté le dernier album de Faith and the Muse, mais les morceaux joués ce soir qui en sont extraits ne m’ont pas particulièrement enthousiasmé. Avec beaucoup de percussions et de violon, on s’approche de la World Music. Ce syndrome assez agaçant avait déjà touché Dead Can Dance en son temps. Heureusement, suffisamment de morceaux plus rock m’ont permis de passer un excellent moment, rendu unique par la proximité avec le groupe. La scène étant trop petite pour accueillir sept musiciens (dont trois issus de Christ vs Warhol) deux d’entre eux ont du se placer nez-à-nez avec les fans du premier rang. Il y avait un spectateur placé à 50 centimètres du visage de William Faith, impassible avec ses traditionnelles lunettes de soleil !
Je ne sais pas quel âge a Monica Richards, probablement plus de 40 ans maintenant, mais cette femme est tout bonnement sublime, avec un sourire énigmatique et envoûtant, et une voix qui emporte l’auditeur dans une autre dimension. Je n’ai pas relevé la set list, et suis incapable d’indiquer combien de temps le concert a duré, car le temps s’est arrêté pour moi dans cette salle dont j’ai vite oublié l’inconfort. Merci aux organisateurs pour cette soirée hors normes.
La première partie, Christ vs Warhol, est également un groupe de death rock, dans la lignée de Skeletal Family ou Ghost Dance. On retrouve notamment une rythmique tribale, et une guitare saturée avec beaucoup de chorus. Le son est bon, et met bien en valeur une musique très influencée par les illustres ancêtres des années 80. Dommage que la chanteuse ne soit pas toujours très juste. Deux des musiciens arborent de magnifiques iroquois, et c’est à peu près tout ce que j’aurais vu, car la scène est basse, et quelques spectateurs de grande taille ont eu la fâcheuse idée de se placer devant.
Je n’ai pas encore écouté le dernier album de Faith and the Muse, mais les morceaux joués ce soir qui en sont extraits ne m’ont pas particulièrement enthousiasmé. Avec beaucoup de percussions et de violon, on s’approche de la World Music. Ce syndrome assez agaçant avait déjà touché Dead Can Dance en son temps. Heureusement, suffisamment de morceaux plus rock m’ont permis de passer un excellent moment, rendu unique par la proximité avec le groupe. La scène étant trop petite pour accueillir sept musiciens (dont trois issus de Christ vs Warhol) deux d’entre eux ont du se placer nez-à-nez avec les fans du premier rang. Il y avait un spectateur placé à 50 centimètres du visage de William Faith, impassible avec ses traditionnelles lunettes de soleil !
Je ne sais pas quel âge a Monica Richards, probablement plus de 40 ans maintenant, mais cette femme est tout bonnement sublime, avec un sourire énigmatique et envoûtant, et une voix qui emporte l’auditeur dans une autre dimension. Je n’ai pas relevé la set list, et suis incapable d’indiquer combien de temps le concert a duré, car le temps s’est arrêté pour moi dans cette salle dont j’ai vite oublié l’inconfort. Merci aux organisateurs pour cette soirée hors normes.