Pain of Salvation & Zubrowska @ Elysée Montmartre 18/12/2009
Publié : sam. déc. 19, 2009 12:50 pm
Hier soir, pour finir l'année 2009 en beauté (en ce qui nous concerne), se produisait Pain of Salvation.
Le concert commençant assez tôt (19H), je manque le début de la première partie, les français de Zubrowska.
J'avoue ne connaître les toulousains que de nom pour les avoir vus sur des flyers et surtout de par leur ancien batteur ^^.
Vu le style musical fort éloigné de la tête d'affiche nul doute que c'est grâce à lui que Zubrowska aura décroché le pompon.
J'arrive donc en cours de route (j'ai pas du rater beaucoup) et me faufile rapidement jusqu'à la zone photo.
Bof bof, ce que j'entends ne me plait pas des masses ... du moins les deux premiers titres puisque vient un instrumental fort réussi qui me remotive.
Simple hasard ou succession de titres différents de la premiere partie, mais les morceaux qui suivront l'instrumental s'avèreront nettement plus réussis que le début de concert.
Ca s'agite bien et sur scène j'ai l'impression de voir évoluer un clone de cult of luna
.
Pour le coup, après un départ pas tip top, ca tient bien la route.
Il faudra donc que j'essaie de revoir le groupe pour une vraie date et que je me penche éventuellement sur leur disco.

Une petite demi heure de pause et ce sont les stars de la soirée (stars, car le public compte manifestement nombre de groupies) qui entrent en scène sur une bande de "remedy lane"
Faute à une date trop tard dans la saison (c'est quasiment noel), ou à un manque d'actu (l'album ne paraîtra que l'an prochain) mais la salle est en petite configuration (loin de la foule de la tournée scarsick).
Quoi qu'il en soit, le public répondra assez bien aux (nombreuses) sollicitations de Daniel qui est (comme d'hab) assez communicatif, n'hésitant à cabotiner un peu et jouant pas mal sur le ton de l'humour.
La setlist est identique à celle du Z7 mercredi soir. A nouveau on a droit à un concert en patchwork, entrecoupé de petites séquences ou courts discours, plus qu'à un véritable fondu comme sur album.
Le premier enchaînement est composé de l'excellent Used (le son dans le photopit est affreux) suivi du seul extrait de Be de la soirée (Diffidentia) puis le titre homonyme de la tournée, à savoir linoleum, premier extrait du futur album à venir l'an prochain, et extrait de l'EP du même nom.
Ca balance bien et c'est très "rock n'roll" ce qui sera confirmé plus tard par un autre morceau en rappel : conditionned (non présent sur l'ep).
Viennent ensuite mes deux morceaux préférés, à savoir Ashes, et Undertow dans la magnifique version minimaliste (accepalla puis ajout un à un des instruments) que le groupe affectionne en live, puis The Perfect Element (avec son intro falling).
Le reste de la soirée s'enchaîne agréablement (mon pic étant déjà atteint, ca redescendra tout doucement jusqu'au rappel).
Le groupe bouge bien, est tout sourire, le tout avec un son correct quand on s'éloigne un peu et un lightswhow aux petits oignons.
On termine (au bout de quasiment 90 minutes) sur nightmist, unique extrait de Entropia, avec un long speech d'intro de Daniel, qui transformera un bide (aucune réaction du public à l'annonce d'un titre de leur premier album) en ovation avec humour.
Courte sortie du groupe pour un retour sur la belle reprise de Hallelujah de Leonard Cohen, enchaînée avec Conditonned (et une dédicace de Daniel aux bâtards qui releaseront ca sur youtube).
Il ne nous reste donc plus qu'un seul morceau, et Daniel exige que l'on danse tous dessus, il s'agit bien sûr de Disco Queen (ce qui me rappelle toujours la débandade au Hellfest 2007 sur ce titre ^^).
Toute la fosse sautillera, certains sur les côtés danseront, sur ce titre qui retranscrit parfaitement la bonne humeur globale de la soirée (si on enlève les larmes sur Undertow d'une partie non négligeable du public).
Hmmmmm, que c'était bon. Quasiment deux heures passées comme un rien. Entre ce concert et celui de Swallow the Sun (aucun rapport je sais :p), l'année se finira en beauté.
Ah si, il y a un rapport, merci fred
.



Le concert commençant assez tôt (19H), je manque le début de la première partie, les français de Zubrowska.
J'avoue ne connaître les toulousains que de nom pour les avoir vus sur des flyers et surtout de par leur ancien batteur ^^.
Vu le style musical fort éloigné de la tête d'affiche nul doute que c'est grâce à lui que Zubrowska aura décroché le pompon.
J'arrive donc en cours de route (j'ai pas du rater beaucoup) et me faufile rapidement jusqu'à la zone photo.
Bof bof, ce que j'entends ne me plait pas des masses ... du moins les deux premiers titres puisque vient un instrumental fort réussi qui me remotive.
Simple hasard ou succession de titres différents de la premiere partie, mais les morceaux qui suivront l'instrumental s'avèreront nettement plus réussis que le début de concert.
Ca s'agite bien et sur scène j'ai l'impression de voir évoluer un clone de cult of luna

Pour le coup, après un départ pas tip top, ca tient bien la route.
Il faudra donc que j'essaie de revoir le groupe pour une vraie date et que je me penche éventuellement sur leur disco.


Une petite demi heure de pause et ce sont les stars de la soirée (stars, car le public compte manifestement nombre de groupies) qui entrent en scène sur une bande de "remedy lane"
Faute à une date trop tard dans la saison (c'est quasiment noel), ou à un manque d'actu (l'album ne paraîtra que l'an prochain) mais la salle est en petite configuration (loin de la foule de la tournée scarsick).
Quoi qu'il en soit, le public répondra assez bien aux (nombreuses) sollicitations de Daniel qui est (comme d'hab) assez communicatif, n'hésitant à cabotiner un peu et jouant pas mal sur le ton de l'humour.
La setlist est identique à celle du Z7 mercredi soir. A nouveau on a droit à un concert en patchwork, entrecoupé de petites séquences ou courts discours, plus qu'à un véritable fondu comme sur album.
Le premier enchaînement est composé de l'excellent Used (le son dans le photopit est affreux) suivi du seul extrait de Be de la soirée (Diffidentia) puis le titre homonyme de la tournée, à savoir linoleum, premier extrait du futur album à venir l'an prochain, et extrait de l'EP du même nom.
Ca balance bien et c'est très "rock n'roll" ce qui sera confirmé plus tard par un autre morceau en rappel : conditionned (non présent sur l'ep).
Viennent ensuite mes deux morceaux préférés, à savoir Ashes, et Undertow dans la magnifique version minimaliste (accepalla puis ajout un à un des instruments) que le groupe affectionne en live, puis The Perfect Element (avec son intro falling).
Le reste de la soirée s'enchaîne agréablement (mon pic étant déjà atteint, ca redescendra tout doucement jusqu'au rappel).
Le groupe bouge bien, est tout sourire, le tout avec un son correct quand on s'éloigne un peu et un lightswhow aux petits oignons.
On termine (au bout de quasiment 90 minutes) sur nightmist, unique extrait de Entropia, avec un long speech d'intro de Daniel, qui transformera un bide (aucune réaction du public à l'annonce d'un titre de leur premier album) en ovation avec humour.
Courte sortie du groupe pour un retour sur la belle reprise de Hallelujah de Leonard Cohen, enchaînée avec Conditonned (et une dédicace de Daniel aux bâtards qui releaseront ca sur youtube).
Il ne nous reste donc plus qu'un seul morceau, et Daniel exige que l'on danse tous dessus, il s'agit bien sûr de Disco Queen (ce qui me rappelle toujours la débandade au Hellfest 2007 sur ce titre ^^).
Toute la fosse sautillera, certains sur les côtés danseront, sur ce titre qui retranscrit parfaitement la bonne humeur globale de la soirée (si on enlève les larmes sur Undertow d'une partie non négligeable du public).
Hmmmmm, que c'était bon. Quasiment deux heures passées comme un rien. Entre ce concert et celui de Swallow the Sun (aucun rapport je sais :p), l'année se finira en beauté.
Ah si, il y a un rapport, merci fred






