Nashville Pussy + Voivod - 18/06/2009 - Paris Nouveau Casino
Publié : jeu. juin 18, 2009 10:17 pm
Ayant toujours eu du mal avec le metal torturé, ma hurlothèque est plutôt pauvre en Voivod. Elle comporte juste « War and pain » et “Dimension hatröss”. Néanmoins, ça fait plaisir de voir ce groupe mythique, à l’histoire riche et récemment tragique. La salle est à moitié vide quand Voivod commence à jouer, ce qui n’empêche pas les musiciens de prendre leur pied et de se donner à fond. Le chanteur (Snake ?) est bourré d’humour, et communique bien avec le maigre public. Ca ressemble presque à un concert privé devant des potes. Le son est excellent, et c’est un vrai bonheur d’entendre dans de telles conditions des parties de guitare extrêmement originales. Pour la set list, je laisse œuvrer les spécialistes. J’ai juste reconnu le furieux « Voi Vod » avec lequel le show a débuté.
Comment ai-je pu vivre les treize dernières années sans connaître Nashville Pussy ? Moi qui adore le hard rock bien gras à la AC/DC, Motörhead, ZZ Top, Airbourne… et toujours à l’affût de petits groupes qui dépotent (The Four Horsemen, Zodiac Mindwarp, the Almighty…), je n’avais jamais entendu un seul titre de Nashville Pussy. Du coup ce soir, c’était la grosse claque dans la gueule ! Quelle énergie, quelle intensité ! Pendant que les frères Young balancent un riff, Nashville Pussy a déjà joué la moitié d’un morceau à fond la caisse. J’ai la nuque ankylosée à force de headbanging, les oreilles en sang, et encore le sourire aux lèvres tellement c’était bon. La soliste est géniale et, malgré sa Gibson SG, n’est pas un simple clone de Angus, contrairement à ce que j’ai pu lire ça et là. D’un point de vue scénique, c’est du 100% redneck tendance punk. Les hommes sont laids, moustachus et bedonnants. Les femmes sont vulgaires et sexy, avec un décolleté en permanence au bord de l’explosion pour la guitariste. Et ça jure, ça boit de la bière et du whisky a gogo, et c’est le bordel avec des plantages par ci par là. Bref, l’essence du rock’n’roll. Yeah ! Vivement le prochain passage de Nashville Pussy à Paris.
Comment ai-je pu vivre les treize dernières années sans connaître Nashville Pussy ? Moi qui adore le hard rock bien gras à la AC/DC, Motörhead, ZZ Top, Airbourne… et toujours à l’affût de petits groupes qui dépotent (The Four Horsemen, Zodiac Mindwarp, the Almighty…), je n’avais jamais entendu un seul titre de Nashville Pussy. Du coup ce soir, c’était la grosse claque dans la gueule ! Quelle énergie, quelle intensité ! Pendant que les frères Young balancent un riff, Nashville Pussy a déjà joué la moitié d’un morceau à fond la caisse. J’ai la nuque ankylosée à force de headbanging, les oreilles en sang, et encore le sourire aux lèvres tellement c’était bon. La soliste est géniale et, malgré sa Gibson SG, n’est pas un simple clone de Angus, contrairement à ce que j’ai pu lire ça et là. D’un point de vue scénique, c’est du 100% redneck tendance punk. Les hommes sont laids, moustachus et bedonnants. Les femmes sont vulgaires et sexy, avec un décolleté en permanence au bord de l’explosion pour la guitariste. Et ça jure, ça boit de la bière et du whisky a gogo, et c’est le bordel avec des plantages par ci par là. Bref, l’essence du rock’n’roll. Yeah ! Vivement le prochain passage de Nashville Pussy à Paris.