Dornenreich/Agalloch/Mely - Glaz'Art (Paris) 25/03/2009
Publié : jeu. mars 26, 2009 5:45 pm
Soirée fraîche pour se rendre au Glaz'Art ce mercredi soir. Mais rien ne peut décourager un amateur de mélodies en manque de sa dose de spleen.
La foule est très différente de mes concerts habituels, hormis quelques têtes connues.
Mely ouvre le bal. Les Autrichiens proposent un gothic metal appuyé par un clavier. Le rendu musical est vraiment bon, avec un son fort mais puissant, sans doute le meilleur son de la soirée. Niveau scénique, il ne se passe pas grand chose. Le bassiste se cache constamment derrière sa mèche. Le guitariste/chanteur bredouille quelques mots à la foule. Les metalleux sentimentaux sont bien timides. La sauce prend petit à petit pendant le set, jusqu'à des acclamations finales méritées pour un groupe très content d'être là. Mely c'est mélo mais c'est pas si mal.
C'est bien Agalloch qu'une grande majorité du public veut voir. Impossible d'approcher de la scène tellement la foule est compacte devant le groupe. Le fan d'Agalloch est manifestement grand. Il est également sourd, car le son est super fort. Pas en globalité, car l'ingé son oublie la guitare rythmique et la basse. C'est donc le trio batterie (beaucoup trop forte)-guitare lead-voix qui est chargé de tenir en haleine. Ayant squatté l'écran devant le bar (au moins là, on voyait parfaitement les zicos), j'ai vu refluer quelques fans très déçu par le son. Côté prestation, ça m'a semblé très fidèle aux albums. La prestation scénique était très sobre, hormis un roulage par terre assez ridicule pour les guitaristes en fin de set.
Je me replace pour Dornenreich, profitant du départ d'une partie du public. Le groupe évolue sous la forme d'un trio batterie-guitare/chant-violon. Le son est catastrophique sur le début. La guitare est tellement faible qu'Eviga se retourne et monte drastiquement le volume sur l'ampli. Par la suite, la batterie (encore une fois beaucoup trop forte) a plombé les mélodies par sa surpuissance. Le violon en continu et la présence d'une seule guitare m'ont pas mal désarçonné et j'ai trouvé le set très pénible à suivre. Assez dégoûté, j'ai abandonné au bout de 20-30 min.
Concert très décevant pour ma part.
Le son ayant été très bon pour Shining, je ne mettrai pas en cause la salle ou sa sono. Mais c'était vraiment mauvais, d'une part le volume d'autre part les balances entre instruments.
La foule est très différente de mes concerts habituels, hormis quelques têtes connues.
Mely ouvre le bal. Les Autrichiens proposent un gothic metal appuyé par un clavier. Le rendu musical est vraiment bon, avec un son fort mais puissant, sans doute le meilleur son de la soirée. Niveau scénique, il ne se passe pas grand chose. Le bassiste se cache constamment derrière sa mèche. Le guitariste/chanteur bredouille quelques mots à la foule. Les metalleux sentimentaux sont bien timides. La sauce prend petit à petit pendant le set, jusqu'à des acclamations finales méritées pour un groupe très content d'être là. Mely c'est mélo mais c'est pas si mal.
C'est bien Agalloch qu'une grande majorité du public veut voir. Impossible d'approcher de la scène tellement la foule est compacte devant le groupe. Le fan d'Agalloch est manifestement grand. Il est également sourd, car le son est super fort. Pas en globalité, car l'ingé son oublie la guitare rythmique et la basse. C'est donc le trio batterie (beaucoup trop forte)-guitare lead-voix qui est chargé de tenir en haleine. Ayant squatté l'écran devant le bar (au moins là, on voyait parfaitement les zicos), j'ai vu refluer quelques fans très déçu par le son. Côté prestation, ça m'a semblé très fidèle aux albums. La prestation scénique était très sobre, hormis un roulage par terre assez ridicule pour les guitaristes en fin de set.
Je me replace pour Dornenreich, profitant du départ d'une partie du public. Le groupe évolue sous la forme d'un trio batterie-guitare/chant-violon. Le son est catastrophique sur le début. La guitare est tellement faible qu'Eviga se retourne et monte drastiquement le volume sur l'ampli. Par la suite, la batterie (encore une fois beaucoup trop forte) a plombé les mélodies par sa surpuissance. Le violon en continu et la présence d'une seule guitare m'ont pas mal désarçonné et j'ai trouvé le set très pénible à suivre. Assez dégoûté, j'ai abandonné au bout de 20-30 min.
Concert très décevant pour ma part.
Le son ayant été très bon pour Shining, je ne mettrai pas en cause la salle ou sa sono. Mais c'était vraiment mauvais, d'une part le volume d'autre part les balances entre instruments.