OBITUARY + Holy Moses + Avatar - 22/01/2008 - Paris (La Loco
Publié : mer. janv. 23, 2008 12:06 am
Avatar : pas vu, mais de l’avis général, je n’ai rien manqué.
Holy Moses : de sympathiques quadragénaires figés dans leurs vingt ans, tant musicalement que dans l’attitude. La chanteuse imite à merveille Donald Duck.
Obituary : comme toujours, un concert excellent, avec des morceaux qui prennent une ampleur incroyable sur scène, desservis par un son parfait. L’association des deux guitares, bien grasse pour Trevor Peres et plus cristalline pour Ralf Santolla, fonctionne à merveille.
Deux petits bémols :
- plutôt que de commencer par jouer une demi-douzaine de classiques, puis la quasi-intégralité de « Xecutioner’s return » il aurait été à mon avis plus percutant d’alterner anciens et nouveaux morceaux.
- les solos de batterie de Donald Tardy sont chiants. A la place, Obituary aurait eu le temps de jouer «’til death », dont le riff macabre final m’a bien manqué…
PS1 : toutes mes condoléances au slammeur qui s’est éclaté le nez sur « threatening skies ». Règle d’or du stage diving : ne jamais sauter pendant les pogos furieux. Tout le monde est trop occupé pour lever les bras !
PS2 : coucou à Mister La Morte, qui m’a salué juste avant le début d’Obituary. La prochaine fois, je t’offre une bière pour qu’on puisse discuter plus de cinq secondes.
Holy Moses : de sympathiques quadragénaires figés dans leurs vingt ans, tant musicalement que dans l’attitude. La chanteuse imite à merveille Donald Duck.

Obituary : comme toujours, un concert excellent, avec des morceaux qui prennent une ampleur incroyable sur scène, desservis par un son parfait. L’association des deux guitares, bien grasse pour Trevor Peres et plus cristalline pour Ralf Santolla, fonctionne à merveille.

Deux petits bémols :
- plutôt que de commencer par jouer une demi-douzaine de classiques, puis la quasi-intégralité de « Xecutioner’s return » il aurait été à mon avis plus percutant d’alterner anciens et nouveaux morceaux.
- les solos de batterie de Donald Tardy sont chiants. A la place, Obituary aurait eu le temps de jouer «’til death », dont le riff macabre final m’a bien manqué…
PS1 : toutes mes condoléances au slammeur qui s’est éclaté le nez sur « threatening skies ». Règle d’or du stage diving : ne jamais sauter pendant les pogos furieux. Tout le monde est trop occupé pour lever les bras !
PS2 : coucou à Mister La Morte, qui m’a salué juste avant le début d’Obituary. La prochaine fois, je t’offre une bière pour qu’on puisse discuter plus de cinq secondes.
