Symphony X investit le Splendid de Lille (14/10/07)
Publié : mar. oct. 16, 2007 11:31 am
Quel concert que celui de dimanche soir!! Et puis soulignons qu'il s'agissait de la seule et unique date permettant de voir Symphony X en tête d'affiche (en attendant le printemps M. Allen!).
L'affluence m'a semblé assez faible pour un groupe de cette trempe, mais bon...
Revenons à l'essentiel.
Les hostilités démarrent par Syren's Call, formation française de heavy métal gothique. Il serait assez injuste de les comparer dans le genre à Nightwish (surtout vu mon indifférence quant à ces derniers), mais c'est le seul point de comparaison que j'ai trouvé!
Personnellement, je n'ai pas du tout accroché au style pratiqué, même si certains passages mélancoliques m'ont tout de même fait éprouver quelque chose. La voix m'a laissé de marbre, et je préfère de loin la finesse d'une Anneke...
Après ce petit préambule, nos chers furieux de Symphony X déboulent sur la grandiloquence de "Oculus ex Inferni". Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'ils nous plongent d'emblée dans une furie véritablement métallique avec l'enchainement de "Set the world on fire" et "Domination"... ou comment vous bousiller pas mal de vertèbres!
Disons que cet set fut à l'image de ce que le groupe est capable de donner, soit des passages très enlevés et d'autres bien plus néo-classiques et développés. Concernant la prestation des gaillards, rien à dire car ils sont d'un niveau technique effarant.
Evidemment, notre cher Romeo attire très souvent l'oeil, mais se fait quand même volontiers voler la vedette par un Russell Allen très en forme et qui donne tout ce qu'il a!!!
Magnifique prestation de bout en bout, que ce soit dans ses montées lyriques ou des hurlements rageurs à souhait (un certain Legion devrait prendre des cours avec lui d'ailleurs...).
La set-list va largement privilégier le dernier opus en date avec pas moins de 5 morceaux. Le passé du groupe sera dignement représenté avec un "Smoke and mirrors" splendide ou un toujours très efficace "Of sins and shadows".
Le clou de la soirée sera bien entendu "The odyssey" joué en intégralité en guise de rappel. Final poignant qui laissera tout le monde sans voix (excepté notre M. Allen bien sûr!!).
En bref, une soirée magistrale menée par de sacrés musiciens qui savent se faire plaisir et le communiquer à leur public.
Rendez-vous au printemps 2008 pour une tournée en tête d'affiche!
L'affluence m'a semblé assez faible pour un groupe de cette trempe, mais bon...
Revenons à l'essentiel.
Les hostilités démarrent par Syren's Call, formation française de heavy métal gothique. Il serait assez injuste de les comparer dans le genre à Nightwish (surtout vu mon indifférence quant à ces derniers), mais c'est le seul point de comparaison que j'ai trouvé!
Personnellement, je n'ai pas du tout accroché au style pratiqué, même si certains passages mélancoliques m'ont tout de même fait éprouver quelque chose. La voix m'a laissé de marbre, et je préfère de loin la finesse d'une Anneke...
Après ce petit préambule, nos chers furieux de Symphony X déboulent sur la grandiloquence de "Oculus ex Inferni". Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'ils nous plongent d'emblée dans une furie véritablement métallique avec l'enchainement de "Set the world on fire" et "Domination"... ou comment vous bousiller pas mal de vertèbres!
Disons que cet set fut à l'image de ce que le groupe est capable de donner, soit des passages très enlevés et d'autres bien plus néo-classiques et développés. Concernant la prestation des gaillards, rien à dire car ils sont d'un niveau technique effarant.
Evidemment, notre cher Romeo attire très souvent l'oeil, mais se fait quand même volontiers voler la vedette par un Russell Allen très en forme et qui donne tout ce qu'il a!!!

La set-list va largement privilégier le dernier opus en date avec pas moins de 5 morceaux. Le passé du groupe sera dignement représenté avec un "Smoke and mirrors" splendide ou un toujours très efficace "Of sins and shadows".
Le clou de la soirée sera bien entendu "The odyssey" joué en intégralité en guise de rappel. Final poignant qui laissera tout le monde sans voix (excepté notre M. Allen bien sûr!!).
En bref, une soirée magistrale menée par de sacrés musiciens qui savent se faire plaisir et le communiquer à leur public.
Rendez-vous au printemps 2008 pour une tournée en tête d'affiche!
